- Nènè Souragassi, « Doua san », Blue Silver, 1996. Même album que le samedi 1er septembre 2018.

Dans le billet initial sur cet album, je vous ai dit être très sensible maintenant à la musique de Nènè Souragassi après l’avoir écoutée « juste comme ça » dans le passé.
Ce samedi, elle me donne presque envie d’enfiler un grand boubou avec son musɔrɔ [moussor, foulard] majestueux, de balancer les bras et tourner avec grâce comme le fait Ami Koïta chantant « Mamaya »*. Mais bon, le boubou et moi, nous avons un désaccord très ancien et qui perdure : il est trop large pour moi, je suis trop rapide pour lui. Vous auriez plus de chance de me voir m’y essayer en T-shirt et pagne ou en taille basse comme les danseuses dans « Wodou wodou » de M.A.S.S.** (« Wodou, wodou, wodou, waaw, Coumba takk na sër ! »). Re-mais bon, je n’ai pas, disons, les mêmes « arguments » et le même talent que ces dames… 😊
Trêve de digression. Je vous laisse avec Nènè Souragassi.

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Nouveaux extraits
« Djama bara bo [Jama bara bɔ] (traditionnel) »
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« Bè ni dania [Bɛ n’i daɲaa] »
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« Bakoré »
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« Sindjiya [Sinjiya] (instrumental) »
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Extraits de l’album dans le billet du 1er septembre 2018
– « Doua san den [Dua san den] »
– « N’na ta i fè [N’na ta i fɛ] »
– « (A) Ka dogo Allah yé [A ka dɔgɔ Ala ye] »
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Puisqu’il en a été question…
*Ami Koïta, « Mamaya »
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**M.A.S.S., « Wodou wodou »
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Coumba Sylla
@ Dakar