Musique du samedi 14 juillet 2018 : Salif Keïta

• Salif Keïta, « The Best of Salif Keita – The Golden Voice » (double album), Wrasse Records, 2002

Il vous arrive, quand vous entendez un nom, d’y associer un mot ou une expression, un sentiment ou un moment, sans trop réfléchir à pourquoi, comment et tout ça, n’est-ce pas ? Quand j’entends Salif Keïta, je pense « voix puissante » et je ne suis pas la seule. Pour beaucoup, il est une voix aux épithètes et superlatifs nombreux…

Il a tant été dit et écrit sur lui : né le 25 août 1949 au Mali, devenu chanteur, musicien, producteur et un homme engagé notamment en faveur des albinos ; qui a fait des incursions dans le cinéma comme comédien : dans « La Genèse », film réalisé par le Malien Cheick Oumar Sissoko, par exemple, dont il partage l’affiche avec Sotigui Kouyaté et Balla Moussa Keïta ; et avec sa musique : sur la bande originale de « L’Enfant lion »  réalisé par le Français Patrick Grandperret, par exemple.

Un des textes les mieux documentés sur Salif Keïta, avec du contexte et des liens, est sa biographie signée par Nago Seck sur Afrisson (même si la dernière mise à jour n’est pas récente. (En matière de musiques africaines, je consulte régulièrement ce site, qui est – et fait – un formidable travail de documentation et de mémoire.)

« The Best of Salif Keita – The Golden Voice » compte au total 22 titres : 10 sur le premier CD, et 12 sur le second.

Le premier CD comporte « Sanni kegniba »…

… ainsi que « Nous pas bouger ».

Sur le second CD, on retrouve « Souareba », un de mes coups de coeur permanents…

… et aussi « Nyanafin ».

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Coumba Sylla

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Au-delà de cet album…

◊ Ses sites ou comptes officiels

→  The Salif Keïta Global Foundation Inc. (SKGF) 

→ Salif Keïta Officiel Fan Page sur Facebook

→ Twitter

◊ Pages dédiées à Salif Keïta :

→ sur BBC

→ sur RFI-Musique

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◊ Salif Keïta, « Donsolou »

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◊ Salif Keïta & L’Skadrille, « Nous pas bouger (remix) »

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◊ Salif Keïta, Snarky Puppy, Carlos Malta & Bernardo Aguiar, « Soro »

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◊ Salif Keïta, « Primpin »

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◊ Salif Keïta, « A demain »

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C.S.