Lectures du vendredi 9 mars 2018 : Jim McCarthy et Benito Gallego, Jostein Gaarder

 

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(Photo : Coumba Sylla)
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(Photo : Coumba Sylla)

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(Photo : Coumba Sylla)
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(Photo : Coumba Sylla)

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EXTRAITS

Robert « Pur » Marley

« Nesta, second prénom de Robert Marley, issu d’un mot gallois signifiant pur. »

(Jim McCarthy et Benito Gallego, « Bob Marley »)

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(Photo : Coumba Sylla)
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(Photo : Coumba Sylla)

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Hit « Simmer Down »

« Nous avons eu notre premier N°1 en Jamaïque [« Simmer Down »] le 1er février 1964. »

(Jim McCarthy et Benito Gallego, « Bob Marley »)

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(Photo : Coumba Sylla)

The Wailing Wailers, « Simmer Down » (audio)

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Philosophe cool et généreux

« L’existence de Marley allait bien au-delà de la philosophie cool qui se dessine dans les titres déjà mentionnés du ‘one love’*. Il dépensa un jour 250.000 $ de ses fonds propres uniquement pour que le groupe et tout son équipement puissent être acheminés au Zimbabwe, afin de s’y produire à l’occasion des fêtes de l’indépendance. »

[* Note du traducteur – « One love » : Terme affirmant le sentiment d’unité, également utilisé pour dire « au revoir ».]

(John Masouri, introduction à « Bob Marley » de Jim McCarthy et Benito Gallego)

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(Photo : Coumba Sylla)

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Espoir, amour de la liberté, humanisme

« Si Bob Marley compte encore – et cela ne fait guère de doute aujourd’hui puisqu’il demeure l’un des symboles les plus populaires d’espoir et d’amour de la liberté -, ce n’est pas seulement en raison de son look ou du talent qui lui [permettait] de produire des tas de titres à succès. C’est parce qu’il s’intéressait aux êtres humains, parce qu’il écrivait des chansons pour influencer notre manière de faire face à la guerre et à la pauvreté, à l’injustice et aux prédations, ou qui nous amènent à une conception différente de l’environnement. »

(John Masouri, introduction à « Bob Marley » de Jim McCarthy et Benito Gallego)

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(Photo : Coumba Sylla)

Bob Marley, « Could You Be Loved » (live)

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(Photo : Coumba Sylla)

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L’humain, une machine ?

« Pour Jorunn, le cerveau humain était un ordinateur sophistiqué. Sophie sentait qu’elle n’était pas tout à fait de son avis. On ne pouvait pas réduire l’être humain à une machine, non ? »

(Jostein Gaarder, « Le Monde de Sophie »)

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(Photo : Coumba Sylla)

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On ne se choisit pas soi-même

« Elle se trouvait une si drôle de tête qu’elle s’était parfois demandé si elle n’était pas née avec un défaut physique. En tout cas, sa mère lui avait dit que sa naissance avait été difficile. Mais notre naissance conditionnait-elle notre apparence pour toujours ?

N’était-il pas étrange qu’elle ne sût pas qui elle était ? Et n’était-ce pas injuste de ne pas pouvoir choisir son aspect extérieur ? Ca vous tombait dessus comme ça. On pouvait peut-être choisir ses amis, mais on ne s’était pas choisi soi-même. Elle n’avait même pas choisi d’être un être humain. »

(Jostein Gaarder, « Le Monde de Sophie »)

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(Photo : Coumba Sylla)

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Ne pas imposer sa passion aux autres

« Les gens ont toutes sortes d’occupations : certains collectionnent les pièces anciennes ou les timbres, quelques-uns s’intéressent aux travaux manuels ou au bricolage et d’autres consacrent presque tout leur temps libre à tel ou tel sport. Beaucoup apprécient aussi la lecture. Mais tout dépend de ce qu’on lit. On peut se contenter de lire des journaux ou des bandes dessinées, n’aimer que les romans ou préférer des ouvrages spécialisés sur des sujets aussi divers que l’astronomie, la vie des animaux ou les découvertes scientifiques.

Si j’ai une passion pour les chevaux ou les pierres précieuses, je ne peux pas exiger des autres qu’ils la partagent. Et si je ne manque pas un reportage sportif à la télévision, cela ne me donne pas pour autant le droit de critiquer ceux qui trouvent le sport ennuyeux. »

(Jostein Gaarder, « Le Monde de Sophie »)

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Nourriture, amour et tendresse

« Qu’est-ce qu’il y a de plus important dans la vie ? Si l’on interroge quelqu’un qui ne mange pas à sa faim, ce sera la nourriture. Pour quelqu’un qui a froid, ce sera la chaleur. Et pour quelqu’un qui souffre de la solitude, ce sera bien sûr la compagnie des autres hommes. (…) Tous les hommes ont évidemment besoin de nourriture. Et aussi d’amour et de tendresse. Mais il y a autre chose dont nous avons tous besoin : c’est de savoir qui nous sommes et pourquoi nous vivons. »

(Jostein Gaarder, « Le Monde de Sophie »)

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(Photo : Coumba Sylla)

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Coumba Sylla

 

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