Musique du samedi 2 mars 2019 : Mamani Keïta et Marc Minelli

Mamani Keïta et Marc Minelli, « Electro Bamako », Universal Classics France (Universal Music), 2001.

Mamani Keïta – Assitan Keïta de son vrai nom – est une chanteuse malienne née le 20 octobre 1965 selon sa biographie sur Afrisson.

Elle fut choriste au Badema National puis de Salif Keïta, qui lui permet de s’installer en France. Elle y évolue en solo, collabore à plusieurs groupes ou projets dont Les Amazones d’Afrique, collectif d’artistes africaines engagées en faveur de l’égalité de genre lancé en octobre 2015.

« Les Amazones d’Afrique » comprennent Kandia Kouyaté, Oumou Sangaré, Mamani Keïta, Mariam Doumbia ou encore Pamela Badjogo – « la pétillante Pamela Badjogo », écrit Le Monde (pour qui la connaît, « pétillante » est un euphémisme), entre autres artistes. Ce groupe féminin est « un melting-pot générationnel et musical qui promet de l’invention et du punch au cœur de la tradition mandingue », estime RFI Musique.

Marc Minelli est un musicien et chanteur français né en juillet 1962 au Havre, selon sa biographie sur le site Last.FM.

D’abord porté sur le rock, il se passionne ensuite pour le jazz et s’ouvre à d’autres styles de musiques, peut-on lire sur RFI-Instrumental.

« Electro Bamako » comprend dix titres au total.

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Extraits

(N.B. : La graphie entre crochets est la version qui me semble la plus proche de la transcription correcte en bambara. Si vous êtes bambaraphones et que vous avez une meilleure orthographe, merci de la partager avec moi…)

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Mamani Keïta et Marc Minelli, « N’ka willy » [« An ka wili »]