Lectures du vendredi 17 novembre 2017 : Le Monde diplomatique, Natalie Clifford Barney

Le Monde diplo nov2017-1
(Photo : Coumba Sylla)
Le Monde diplo nov2017-2
(Photo : Coumba Sylla)

Dans ce numéro, figure « Rencontre avec les pionniers de l’africapitalisme »  dont le Nigérian Tony Elumelu, l’Ethiopien Haile Gebreselassie, l’Ivoirien Alain Kouadio, le Mauritanien Mohamed Ould Bouamatou, le Soudanais Mo Ibrahim, par le journaliste Olivier Piot.

Aperçu de l’article sur le site du journal (intégralité réservée aux abonnés).

Le Monde diplo nov2017-3
(Photo : Coumba Sylla)
Le Monde diplo nov2017-4
(Photo : Coumba Sylla)

¤¤¤

NatalieCliffortBarney2
(Photo : Coumba Sylla)
NatalieCliffortBarney0
(Photo : Coumba Sylla)

*****

Extraits

de « Pensées d’une Amazone »

¤¤¤

Ecoulement de chagrin

(Photo : Coumba Sylla)
(Photo : Coumba Sylla)

« Les larmes, cette circulation de notre chagrin qui s’écoule. »

¤¤¤

« Ce +paysage souriant+, que n’éclate-t-il de rire ? »

¤¤¤

« Elle n’était pas belle, elle était mieux, elle était quelconque, et sentait le succès et la supériorité, que d’être quelconque lui avait toujours valu. »

¤¤¤

« Il avait ce courage des fanatiques, ce courage à oeillères. »

¤¤¤

« Les jours passent, prodigues de trésors. Nous ne les sentons que si nous pouvons les donner. »

¤¤¤

« Toutes ces vieilles rengaines de la jeunesse »

(Photo : Coumba Sylla)
(Photo : Coumba Sylla)

« Ils évoquèrent toutes ces vieilles rengaines de la jeunesse : amour, départ, larmes, souvenirs, oublis, contrebande laissée en consigne, frêle bagage suranné de leurs coeurs de passage. »

¤¤¤

« Vocabulaire restreint » et efficace

(Photo : Coumba Sylla)
(Photo : Coumba Sylla)

« Son vocabulaire restreint comme un nécessaire de voyage, contenant cependant tout ce dont elle pouvait avoir besoin. »

¤¤¤

« Sa main, messagère de ses lèvres, me fit un geste d’adieu, puis, ayant refermé la porte, elle la rouvrit et fit le même geste. La deuxième fois seule me plut : je ne l’attendais pas ! Y a-t-il une femme au monde, ou ailleurs, une femme assez bête, assez peu femme, pour l’avoir répété une troisième fois ? (Une femme bête est une anomalie, une contradiction. Elles ne sont sottes qu’autant qu’elles ne sont pas femmes). »

¤¤¤

« Pour un couple épris, le meilleur cadre est celui qu’on ne remarque pas. »

¤¤¤

Voir aussi :

Natalie Clifford Barney : « Si je m’étais abonnée à l’humanité… » (avec des liens pour télécharger le livre).

Coumba Sylla

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s